20 mai 2016 – Cuisiner ses repas soi-même peut faire toute une différence, autant sur le plan économique que sur celui de la santé. C’est le pari qu’ont fait trois femmes il y a 25 ans et qui a débouché depuis sur le Regroupement des cuisines collectives du Québec, raconte Sylvie Bernier dans sa chronique. En plus de donner la possibilité de cuisiner des plats nutritifs et bons marchés, les cuisines collectives ont l’avantage de briser l’isolement social.
Sylvie Bernier souligne que le Québec compte aujourd’hui plus de 1380 cuisines collectives avec près de 10 000 participants qui préparent chaque année 1 300 000 portions.
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